Lors de célébration cultuel comme le réveillon, saint valentin, le nouvel an ou les anniversaires, de nombreux débat éclatent sur les réseaux sociaux, les uns accusant d’extrémiste intégriste ceux qui mettent en garde contre la célébration ou inversement traitant d'innovateur ceux qui s'y donne
En Islam, la raison (le rationnel) ne peut prévaloir sur des textes islamique déjà présent dans un cas, ce sujet à était traité par nos pieux prédécesseur, donc il faut user des textes religieux, si nous voulons traiter ce sujet d'un point de vue islamique. Si une personne à une soit disant conviction islamique, mais rejette les textes, qu'elle passe sont chemin ou qu'elle mette son hypocrisie de côté 3minute...
Les anniversaire, le nouvel an, noël etc ont toujours existait sous différent noms, donc laissons la parole au prophète saws et à ceux qui l'ont suivie dans sa sunna pour nous dire ce qu'il en est de fêter, participer, s'y attacher ou souhaiter ces meilleurs voeux pour ceci.
Le Blog n'est pas là pour jeter l'anathème sur quiconque donc vous vous ferez votre propre avis incha Allah
1ère pour comprendre la partie juridique, voyons l'origine de ces fêtes :
Les diverses coutumes que l'on observe aujourd'hui lors des anniversaires de naissance ont une longue histoire. Leurs origines sont liées à la magie et à la religion.
Les pratiques en usage dans les temps anciens, qui consistaient à adresser des félicitations, à offrir des cadeaux et à fêter l'événement — des bougies allumées venant couronner le tout — étaient censées protéger des démons celui qui célébrait son anniversaire ; on assurait ainsi sa sécurité pour l'année à venir.
L'anniverssaire :
Jusqu'au IVe siècle, le christianisme a rejeté la célébration des anniversaires, les considérant comme une coutume païenne. »
« Les Grecs croyaient qu'à chaque humain s'attachait un esprit protecteur ou daimôn qui assistait à sa naissance et veillait sur lui durant sa vie.
Cet esprit était en relation mystique avec le dieu dont l'anniversaire correspondait au jour de naissance de l'individu. Les Romains aussi souscrivaient à cette idée. (...) Cette croyance a fait son chemin et se retrouve dans les notions d'ange gardien, de marraine fée et de saint patron.
les sataniste ont ensuite adopté cette fête dans leur rituel, car en lien avec les démons ce dernier est très important pour eux comme l'est noël pour les "chrétiens"
l’anniversaire était ancré dans les moeurs des polythéistes parmi les ahlul kitab :
- Dans l'Ancien Testament, un festin d'anniversaire est cité en Genèse 40, 20, dans l'histoire de Joseph : "Et il arriva, le troisième jour, jour de la naissance du Pharaon, qu’il fit un festin à tous ses serviteurs ; et il éleva la tête du chef des échansons et la tête du chef des panetiers au milieu de ses serviteurs : il le rétablit dans son office d’échanson(...). Mais le chef des panetiers, il le pendit.”
- Dans le Nouveau Testament, un festin d'anniversaire est cité en Marc 6, 21 quand la fille d'Hérodiade obtient la tête deJean le Baptiste : “Or vint un jour propice, quand Hérode, à l’anniversaire de sa naissance, fit un banquet pour les grands de sa cour, les officiers et les principaux personnages de la Galilée : - la fille d’Hérodiade entra et dansa, et plut tant à Hérode qu’il promit avec serment de lui donner ce qu’elle demanderait. Et elle de dire, endoctrinée par sa mère: ‘Donne-moi ici, sur un plat, la tête de Jean le Baptiste.’ (...) il envoya décapiter Jean dans la prison.”
la Saint valentin :
c'est la saint Valentin, comme chaque jour du calendrier catholique, on fête un saint. Et les saints sont toujours patrons de quelque chose. Patron d'un lieu, d'une corporation ou d'une organisation. Ainsi, saint Roch est le patron des bergers... Et l'Église a fait de saint Valentin le patron des fiancés.
Pourquoi Valentin ? Il n'y a pas de Valentin martyr ou autre qui a quelque chose à voir avec les amoureux...
Dans la Rome antique, on fêtait certes le 15 février les Lupercales, célébration un brin paillarde du dieu Faune mais on ne peut affirmer que la saint Valentin a été instaurée pour remplacer cette fête païenne
La Fête de noël :
petite parenthèse historique concernant la naissance de Jesus aleyhi slm
▶▶En 375 A.V., l'Église de Rome sous le Pape Julius 1 annonça que la date de naissance du Christ fût "découvert" être le 25 décembre. Cette « découverte » fut acceptée par les chrétiens , et depuis le 25descembre est Noël . Cependant le 25 décembre n'est autre que la date de naissance de Mithra , une divinité païenne très répandue à Rome , l'annonce faite par l'église visait tout simplement à « réconcilier » entre le christianisme et le paganisme , et amener ainsi les païens convertis de force à accepter plus facilement de fêter l'anniversaire de Jésus , puisqu'il leur est égal que ce soit Jésus ou Mithra du moment qu'ils célèbrent leur fête habituelle du 25 décembre .
▶ Tout d’abord, rappelons la situation géographique des événements. Jésus est né à Bethléem (ville est située à 9 km environ au sud de Jérusalem se trouvant sur une région montagneuse à une altitude de 777 mètres). Les conditions climatiques y sont les mêmes qu’à Jérusalem. En effet, au mois de décembre c’est l’hiver.
▶La bible mentionne par ailleurs à de nombreuses reprises le temps qu’il fait en hiver dans cette région et la différence évidente entre la saison estivale et hivernale. Les écrits font référence (directement ou indirectement) de nombreuses fois
(exemple Zekaria 14:8, Mathieu 24:20, 1 Corinthiens 16:6, 2 Timothée 4:21, Chant de Salomon 2:11...) et l’associent aux conditions froides et pluvieuses qui l’accompagnent.
Le temps pluvieux et glacial qu’il fait à cette époque de l’année s’accorde avec les dires de l’écrivain biblique Esdras qui explique que Kislev (novembre-décembre) est “la saison des averses, et qu’il n’est pas possible de rester dehors” en Esdras 10:9, 13.
Or le soir de la naissance de Jésus justement, les bergers des environs vivaient dehors et dormaient en plein air à cette époque de l’année (Luc 2:8-11).
(Ce serait une chose impossible à faire en hiver là-bas, par contre c’est dans les habitudes des bergers de la région en été ou en automne. Ces premières considérations climatiques permettent donc d’affirmer avec certitude que Jésus ne serait pas né une nuit d’hiver.)
▶Le Coran affirme aussi que la période de naissance de Jésus était en été, période des dattes mûres que la Vierge Marie mangea avant d’accoucher :
« Puis les douleurs de l'enfantement l'amenèrent au tronc du palmier, et elle dit : «Malheur à moi ! Que je fusse morte avant cet instant ! Et que je fusse totalement oubliée ! » Coran 19
« Alors, il l'appela d'au-dessous d'elle , [lui disant : ] «Ne t'afflige pas. Ton Seigneur a placé à tes pieds une source.25- Secoue vers toi le tronc du palmier : il fera tomber sur toi des dattes fraîches et mûres. »
👉 Il est à souhaiter que tous les chrétiens qui croient vraiment en Dieu, réfléchiront, et arriveront à faire la distinction entre les commandements de Dieu et les innovations des hommes.
Fêter une fête païenne et imiter une autre communauté, c’est prendre le risque d’être ressuscité parmi elle.
▶ Tout d’abord, rappelons la situation géographique des événements. Jésus est né à Bethléem (ville est située à 9 km environ au sud de Jérusalem se trouvant sur une région montagneuse à une altitude de 777 mètres). Les conditions climatiques y sont les mêmes qu’à Jérusalem. En effet, au mois de décembre c’est l’hiver.
▶La bible mentionne par ailleurs à de nombreuses reprises le temps qu’il fait en hiver dans cette région et la différence évidente entre la saison estivale et hivernale. Les écrits font référence (directement ou indirectement) de nombreuses fois
(exemple Zekaria 14:8, Mathieu 24:20, 1 Corinthiens 16:6, 2 Timothée 4:21, Chant de Salomon 2:11...) et l’associent aux conditions froides et pluvieuses qui l’accompagnent.
Le temps pluvieux et glacial qu’il fait à cette époque de l’année s’accorde avec les dires de l’écrivain biblique Esdras qui explique que Kislev (novembre-décembre) est “la saison des averses, et qu’il n’est pas possible de rester dehors” en Esdras 10:9, 13.
Or le soir de la naissance de Jésus justement, les bergers des environs vivaient dehors et dormaient en plein air à cette époque de l’année (Luc 2:8-11).
(Ce serait une chose impossible à faire en hiver là-bas, par contre c’est dans les habitudes des bergers de la région en été ou en automne. Ces premières considérations climatiques permettent donc d’affirmer avec certitude que Jésus ne serait pas né une nuit d’hiver.)
▶Le Coran affirme aussi que la période de naissance de Jésus était en été, période des dattes mûres que la Vierge Marie mangea avant d’accoucher :
« Puis les douleurs de l'enfantement l'amenèrent au tronc du palmier, et elle dit : «Malheur à moi ! Que je fusse morte avant cet instant ! Et que je fusse totalement oubliée ! » Coran 19
« Alors, il l'appela d'au-dessous d'elle , [lui disant : ] «Ne t'afflige pas. Ton Seigneur a placé à tes pieds une source.25- Secoue vers toi le tronc du palmier : il fera tomber sur toi des dattes fraîches et mûres. »
👉 Il est à souhaiter que tous les chrétiens qui croient vraiment en Dieu, réfléchiront, et arriveront à faire la distinction entre les commandements de Dieu et les innovations des hommes.
Fêter une fête païenne et imiter une autre communauté, c’est prendre le risque d’être ressuscité parmi elle.
Le nouvel an :
Chaque civilisation avait un "nouvel an" ce jours signifié la célébration d'une divinité comme on peut le voir avec le nouvel an chinoi.
Le mot signifiant année est considéré comme étant à l’origine le nom d'un monstre, Nian, qui venait autrefois rôder autour des villages
Dans la religion Juive, la nouvelle année "Roch Hana" se fête en septembre-octobre.
En 46 avant notre ère, l'empereur romain Jules César décida que le 1er janvier serait le Jour de l'An. Les Romains dédiaient ce jour à Janus, le dieu des portes et des commencements. D'ailleurs le mois de janvier doit son nom au dieu Janus. Celui-ci avait deux faces, l'une tournée vers l'avant (le futur), l'autre vers l'arrière (le passé).
Sous Charlemagne, l'année commençait à Noël, le 25 décembre. Du temps des rois capétiens, l'année débutait le jour de Pâques. Ce n'est que depuis 1622, que le nouvel an est à nouveau fixé au 1er janvier. Une mesure prise par le Pape qui permet surtout de simplifier le calendrier des fêtes religieuses.
Sous Charlemagne, l'année commençait à Noël, le 25 décembre. Du temps des rois capétiens, l'année débutait le jour de Pâques. Ce n'est que depuis 1622, que le nouvel an est à nouveau fixé au 1er janvier. Une mesure prise par le Pape qui permet surtout de simplifier le calendrier des fêtes religieuses.
Bon nous allons pas énuméré toute les fêtes mais les principales sont là et il en ressort que ce sont des célébrations "polythéistes" (hommage au mythe et divinité)
voici des avis tranchant parmi les salaf (génération de pieux qui ont suivie le prophète saws) :
voici des avis tranchant parmi les salaf (génération de pieux qui ont suivie le prophète saws) :
D’après Abû Saïd Al-Khudri (رضي الله عنه), le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a dit : «
Vous suivrez la voie de ceux qui vous ont précédé empan par empan, coudée par
coudée au point où même s’ils entraient dans un trou de lézard, vous les
suivriez.
- Ô Envoyé d’Allah, nous écriâmes-nous, s’agit-il des Juifs et des Chrétiens ?
- Et alors, répliqua-t-il, de qui donc sinon ? »
- Ô Envoyé d’Allah, nous écriâmes-nous, s’agit-il des Juifs et des Chrétiens ?
- Et alors, répliqua-t-il, de qui donc sinon ? »
(Rapporté
par Al-Bukhâri n°3456/7320 et Muslim n°2669)
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Ibn
Hajar Al-‘Asqalani (رحمه
الله) dit dans «
Fath ul-bârî » (13/301) au sujet de cette narration : « Al-Qâdi ‘Iyâd (رحمه الله) a dit : « L’entrée dans le trou
de lézard est un exemple qui signifie qu’on les prend comme modèle dans toutes
choses qui ont été interdites ou blâmées par la Législation (shari‘a). » Puis
il cite l’Imam Ibn Battâl (رحمه الله) disant : « Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a informé
que sa Ummah suivra les choses nouvelles (muhdathât) [dans la religion], les
innovations religieuses (bid’a) et les passions d’égarements, comme cela s’est
produit pour les peuples qui l’ont précédé. Et il a averti dans plusieurs
narrations que la fin sera mauvaise et que l’Heure du Jugement surgira sur les
pires des hommes et que seul un petit nombre de gens resteront sur la religion.
» (Fin de citation)
« Et parmi les innovations (bida’) et choses blâmables
(munkarât) : l’imitation des kuffârs, se complaire avec eux dans leurs
célébrations (’îd) et leurs fêtes traditionnelles (mawâsim) maudites, comme le
font beaucoup de musulmans ignorants. »
(As-Suyûtî dans « Al-‘amr
bil-ittibâ’ wan-nahî ’an il-ibtidâ’ » p.141)
Ibn Ahmad Al-Khatîb Ash-Sharbînî (رحمه الله), parmi les sommités shafi’ites,
a dit : « Celui qui se joint aux kuffars lors de leurs célébrations (‘Îd) est
puni d’une peine discrétionnaire (ta’zîr), […] de même pour celui qui félicite
le kâfir protégé (dhimmi) le jour de leurs festivités. »
(« Mughnî al-muhtâj ilâ ma‘rifat
ma‘ânî alfâz al-minhâj » vol.4 p.205 / voir aussi « Hawâshî ‘alâ tuhfat
al-muhtâj bi-sharh al-minhâj » d’Ash-Sharwânî et Ibn Qâsim Al-‘Abbâdî vol.9
p.181)
Abû Hafs Al-Kabîr Al-Bukhârî (رحمه الله), parmi les sommités hanafites,
a dit : « Si quelqu’un adore Allah pendant 50 ans, et qu’à l’avènement du
Nouvel-An [païen] (nayrûz) il vient à offrir un œuf aux Mushrikîn à la gloire
de ce jour, [celui-ci] aura mécru et rendu ses œuvres vaines. »
(Az-Zayla’i dans « Tabyin
al-haqâ’iq sharh kanz ad-daqâ’iq » vol.6 p.228 et Ibn Nujaym dans « Al-bahr
ar-râ’iq sharh kanz ad-daqâ’iq » vol.8 p.555)
D’après Abû Al-Mughîra, 'Abdullah Ibn ’Amr Ibn Al-’Âs
(رضي الله عنهم) a dit : «
Quiconque s’établit sur la terre des associateurs (‘ard al-mushrikîn) [autre
version : dans les pays des non-arabes (bilâd al-’ajimi)] et célèbre leur
Nouvel-An (nayrûz), leurs fêtes (maharjân) et les imite jusqu’à ce qu’il meurt
[dans cet état], sera ressuscité avec eux au Jour de la Résurrection. »
(Al-Bayhaqi dans « Al-kubra »
9/234 n°18642/18643 et authentifié par Ibn Taymiyya dans « Iqtidât us-sirât
il-mustaqîm » 1/513 et Ibn Al-Qayyim dans « Ahkâm ahl adh-dhimma » 3/1248)
« Et parmi les pires choses innovées : [ces] musulmans
qui suivent les Chrétiens dans leurs célébrations (’Îd), en les imitant dans
leurs repas et en échangeant des cadeaux avec eux. Et les gens les plus
scrupuleux en cela est le peuple d‘Égypte ; et il fut dit (صلى الله عليه وسلم) : « Celui
qui imite un peuple est un des leur(*) ». »
(Ibn
Hajar Al-Haytamî dans « Al-fatâwâ al-fiqhîyya al-kubrâ » vol.4 p.239)
(*) Hadith rapporté par Ahmad
n°5093. Voir « Sahih al-jami’ » n°6149
« Il n’est pas permis au musulman d’assister aux fêtes
des kuffars par consensus des gens de science. Les juristes des quatre écoles
juridiques ont explicitement mentionné cela dans leurs ouvrages. »
(Ibn Al-Qayyim dans « Ahkâm ahl
adh-dhimma » p.1245)
Le croyant n’assiste pas au « zûr » !
Allâh
(عز وجل) a dit en
faisant la description des croyants:
{
وَالَّذِينَ لَا
يَشْهَدُونَ الزُّورَ وَإِذَا مَرُّوا بِاللَّغْوِ مَرُّوا كِرَامًا }
-
[Ils sont] ceux qui n’assistent pas au « zûr » et qui, lorsqu’ils passent
auprès d’une frivolité, s’en écartent dignement. (S.25 / Al-Furqan v.72)
●
Al-Baghawî (رحمه الله) rapporte
dans son tafsîr de Mujâhid(1) qu'il a dit:
«
وقال مجاهد: يعني أعياد المشركين »
«
[az-zûr] : c'est-à-dire les fêtes des mushrikin (associateurs/polythéistes). »
●
Ibn Kathîr (رحمه الله) rapporte
dans son tafsîr (3/2097):
«
وقال أبو العالية وطاوس
وابن سيرين والضحاك والربيع بن أنس وغيرهم هو أعياد المشركين »
«
et Abu Al-'Âliyah(2), Tâwûs(3), Ibn Sirîn(4), Adh-Dhahhâk(5), Ar-Rabî' Ibn
Anas(6) et autres qu'eux ont dit : [az-zûr] désigne les fêtes des mushrikin. »
●
Al-Qurtubî (رحمه الله) rapporte
dans son tafsîr:
«
والزور كل باطل زور
وزخرف , وأعظمه الشرك وتعظيم الأنداد وبه فسر الضحاك وابن زيد
وابن عباس وفي رواية عن ابن عباس أنه أعياد المشركين »
«
Et [az-zûr] désigne toute chose mauvaise qui à été embellie et décorée, avec à
leurs têtes le Shirk (association/polythéisme) et la glorification des idoles
(andâd), et c'est cette explication qu'ont fourni Adh-Dhahhâk(5), Ibn Zayd(6)
et Ibn Abbâs(7); et une des versions selon Ibn Abbâs mentionne qu‘[az-zûr]
signifie : les fêtes des mushrikin. »
●▬▬▬▬▬▬▬ஜ۩۞۩ஜ▬▬▬▬▬▬▬●
Notes:
(1)
Mujâhid : élève - entre autres - du grand compagnon Ibn Abbâs [voir (7)]; il
fait même partie de ses élèves les plus rapprochés, et est l'un des plus grands
savants du tafsîr (exégèse) jamais connus.
(2)
Abû Al-'Âliyah Rafî' Ibn Mahrân : grand savant et exégète du Qur'ân, tâbi'i qui
était vivant à l'époque du Prophète (صلى الله عليه وسلم) mais qui ne s'est converti qu'à
l'époque d'Abû Bakr, élèves de grand savants parmi les compagnons, comme ‘Umar,
‘Ubay ou encore ‘Ali, Ibn Mas'ud et Aïsha (رضي الله عنهم) pour ne citer qu'eux.
(3)
Abû Abd Ar-Rahmân Tâwûs Ibn Kisân Al-Fârisî (le Perse) : montagne de science
parmi les tabi'în, élève très connu d'Ibn Abbâs, et d'autres compagnons comme
Zayd Ibn Thâbit, Aïsha, Abû Hurayra, Zayd Ibn Arqam...
(4)
Muhammad Ibn Sirîn : grand tâbi'i très connu, élève de nombreux compagnons
comme Ibn Abbâs, Ibn ’Umar, Ibn Mas'ûd et Abû Hurayra.
(5)
Adh-Dhahhâk Ibn Mazâhim : grand tabi et grand savant du tafsîr (exégèse), qui a
reçu la science de plusieurs compagnons, parmi eux Abû Sa'îd Al-Khudrî, Anas
Ibn Mâlik et Ibn ’Umar.
(6)
Ar-Rabî' Ibn Anas : grand savant du hadîth et du Qur'ân parmi les tâbi'i, un
des élèves les plus rapprochés d'Ibn Abbâs, qui a également rapporté le hadîth
de plusieurs éminents compagnons, parmi eux notre mère Aïsha et ceux qui ont
assisté à la bataille de Badr (رضي الله عنهم).
(7) Abdullâh Ibn Abbâs : grand
savant parmi les compagnons, qu'Allah l'agrée lui et son père; contentons nous
de citer pour le présenter le fait que le Prophète (صلى الله عليه وسلم) à fait son éloge en le
surnommant : « at-tarjumân ul-qur'an » (l'interprète du Qur‘an). Il (صلى الله عليه وسلم) a
également invoqué Allâh (عز
وجل) pour lui
en ces termes : « Ô Allâh ! Accorde lui la compréhension de la religion et
l'interprétation du Qur'ân ! » (Voir « Sahih Al-Bukhari » n°143)